
Conférences de l’Institut Mater Boni Consilii
le dimanche 26 novembre 2017 à Paris
3 conférences l’après-midi par l’abbé Francesco Ricossa, directeur de la revue Sodalitium.
18 passage Dubail, 75010 Paris. Entrée libre.
Programme détaillé :
- 10h00 Messe, suivie d’un vin d’honneur
- Déjeuner (sur réservation uniquement, et avant le 20 novembre, 20€ par personne – 10€ enfants et étudiants)
- 14h45 Conférence – Les origines et la fondation de la secte.
- 16h15 Conférence – L’encyclique Humanum Genus de Léon XIII.
- 17h30 Conférence – Francs-maçons, modernistes, traditionalistes.
- 19h00 fin de la journée.
Temps libre entre chaque conférence, entrée libre, participation à tout ou partie des conférences.
- Pour toute information :
- Pour s’inscrire au déjeuner : sur réservation uniquement, avant le 20 novembre 2017, et en réglant le repas impérativement à l’avance (20€ par personne – 10€ enfants et étudiants).
- chèque à l’ordre d’Oratoire de Paris
- à envoyer à : Abbé LE GAL, 19 rue Théodore Deck, 75017 Paris
TweetA notre époque, les fauteurs du mal paraissent s’être coalisés dans un immense effort, sous l’impulsion et avec l’aide d’une Société répandue en un grand nombre de lieux et fortement organisée, la Société des francs-maçons. Ceux-ci, en effet, ne prennent plus la peine de dissimuler leurs intentions et ils rivalisent d’audace entre eux contre l’auguste majesté de Dieu. C’est publiquement, à ciel ouvert, qu’ils entreprennent de ruiner la sainte Eglise, afin d’arriver, si c’était possible, à dépouiller complètement les nations chrétiennes des bienfaits dont elles sont redevables au Sauveur Jésus Christ.
(…)
Il en résulte que, dans l’espace d’un siècle et demi, la secte des francs-maçons a fait d’incroyables progrès. Employant à la fois l’audace et la ruse, elle a envahi tous les rangs de la hiérarchie sociale et commence à prendre, au sein des États modernes, une puissance qui équivaut presque à la souveraineté. De cette rapide et formidable extension sont précisément résultés pour l’Eglise, pour l’autorité des princes, pour le salut public, les maux que Nos prédécesseurs avaient depuis longtemps prévus.
(…)
Il s’agit pour les francs-maçons, et tous leurs efforts tendent à ce but, il s’agit de détruire de fond en comble toute la discipline religieuse et sociale qui est née des institutions chrétiennes et de lui en substituer une nouvelle façonnée à leurs idées et dont les principes fondamentaux et les lois sont empruntées au naturalisme.[Extraits de l’encyclique Humanum Genus de Léon XIII (20 avril 1884)]